Kalachakra Info

Décembre 2022 / janvier 2023

Paroles de Maîtres, Lama Zopa Rinpoché

Souffrance et joie

Ce texte est un conseil de Lama Zopa destiné à un étudiant qui l'interrogeait à propos de l'harmonie au sein de la famille (traduction par Franck). Le dessin est de Lama Zopa lui-même et intitulé "Les Quatre Amis"  



"Veuillez réfléchir à ce qu’a dit le guéshé Kadampa Khamlungpa :


En expérimentant à présent cette petite souffrance,

Cela purifie mon karma négatif,

Et de la joie se manifestera dans l’avenir.

Ainsi, je me réjouis de la souffrance présente.


Cela signifie qu’à l’avenir, votre vie sera comme un soleil éclatant. Le soleil brille pour tout le monde, que ce soit les humains, les insectes, les plantes ou les récoltes. Cette citation veut dire que votre vie se dirige vers l’Éveil en transformant les problèmes en voie vers l’Éveil, à l’aide de la vacuité et de bodhicitta, particulièrement bodhicitta [l’Esprit d’Éveil].

Donc, pratiquez tonglen et d’autres pratiques de ce genre. Beaucoup d’explications sont disponibles sur la manière de la pratiquer. C’est très important pour vous d’apprendre et de faire cette pratique.

Vous devez vous rappeler tout cela, et ne pas simplement penser que les problèmes vous arrivent sans cause. Puisque vous avez créé du karma négatif dans le passé et fait souffrir des êtres, vous expérimentez le résultat. "

Le billet de la directrice


Chers amis du dharma,

Une prédiction populaire avait situé le 21 décembre 2012 comme une date correspondant à la fin d’un cycle du calendrier maya et marquant la fin du monde. Nous avions été effrayés… puis rassurés d’être encore vivants à la fin de ladite journée !

Vivre sa journée en considérant que c’est la dernière de sa vie est un bon exercice. Réaliser que nous sommes encore vivants donne toute sa signification à cette vie, aussi essayons de considérer chaque journée comme unique. Chaque jour de l’année est donc spécial pour un bouddhiste, car il nous donne l’occasion de pratiquer le dharma.

Les différentes religions ont différents calendriers et différentes fins d’année. Toutes considèrent que ce sont des périodes spéciales et propices pour faire le point sur les actions de l’année qui se terminent, ainsi que pour réfléchir, jeûner et prier.

Nous allons dire adieu à 2022… et c’est l’occasion de prendre de bonnes résolutions pour l’année qui commence : cultiver des pensées positives tournées vers tous les êtres, se détourner des émotions qui perturbent notre sérénité comme la colère, essayer de préserver dans notre quotidien des plages de méditation et de retour sur soi, planifier des retraites et étudier le dharma.

Redonnons à Noël la dimension spirituelle que cette fête signifie !

Je souhaite que vous viviez ces fêtes de fin d’année dans un esprit réel de générosité plutôt que dans une frénésie de consommation.

D’avance, très bonne année 2023 à tous et toutes.

Élisabeth

Le 33è cours de méditation à Kopan (Népal) est en cours

Focus sur une retraite-évènement proposée chaque année par l'organisation depuis 1971. La photo représente le groupe d'étudiants entourant Lama Zopa et Lama Yéshé lors du tout premier séminaire (source : Lama Yeshe Wisdom Archive).

 

Lama Zopa Rinpoché a dit, “Venir à un séminaire à Kopan est le programme éducatif le plus important de votre vie.” Le 25 novembre 2022, après une pause de deux ans due aux restrictions liées à la COVID-19 et aux préoccupations sanitaires, 175 étudiants ont débuté le 33è séminaire au monastère de Kopan au Népal [où réside Lama Zopa], enseigné par Guéshé Tenzin Namdak. Le nombre d’étudiants accueillis a été restreint, en raison de la persistance des risques sanitaires.

Les organisateurs indiquent que le déroulement du programme est fluide et que jusqu’à présent tout se passe harmonieusement. Guéshé Namdak a commencé les enseignements avec une approche scientifique. Sa manière de transmettre est décrite comme détendue et enthousiaste. Parmi l’assistance, on trouve des étudiants seniors, dont huit moniales et trois moines, et des débutants venant du monde entier, dont un grand nombre d’hispanophones et un petit nombre de Portugais.  

Nombre des étudiants seniors de la FPMT ont au départ suivi une des retraites animées par Lama Yéshé et Lama Zopa Rinpoché, et au fil des années, des milliers d’étudiants ont établi une connexion avec la FPMT au travers des enseignements qu’ils ont reçus au monastère de Kopan. Durant trois années dans les années 1970, deux séminaires étaient proposés chaque année, et depuis, le désormais célèbre “Séminaire de novembre” a été proposé chaque année jusqu’en 2020.

En 2017, Rinpoché a dit devant les plus de deux cents participants réunis, “C’est vraiment de la plus haute importance que vous veniez ici pour apprendre, pas simplement la méditation, mais le lamrim, la méditation sur le lamrim… C’est seulement alors que vous pouvez comprendre comment vivre, comment vous avez vécu dans le passé, comment vivre maintenant, dans un sens positif, non seulement pour vous-même, mais pour tous les innombrables êtres. Je veux vous exprimer que votre venue à Kopan pour le séminaire de méditation, c’est ce qu’il y a de mieux ! Si vous voulez aider le monde, apporter la paix, le fait d’être là, c’est ce qu’il y a de mieux. Vous devez amener la paix par l’intermédiaire de votre esprit, de votre bon cœur. Vous devez développer votre bon cœur pour apporter une paix parfaite et la joie dans le monde. C’est ce qu’il y a de mieux.” 

Lama Zopa Rinpoché a enseigné depuis le premier séminaire en 1971, et y a conféré des enseignements pratiquement chaque année depuis. En plus de ses propres enseignements, qui commencent généralement quelques semaines après le début du cours, Rinpoché sélectionne un instructeur pour mener les sessions chaque année.

Big Love - Morceaux choisis -  #17


Travailler à Kopan

Chaque mois, nous vous proposons un extrait en français de "Big Love", la fameuse biographie de Lama Yéshé (Traduction par Michelle). 

Ce mois-ci, de nouvelles anecdotes aussi amusantes qu'inspirantes illustrent à nouveau le niveau de réalisation du co-fondateur de la FPMT. La photo illustre une levée de fonds en 1973.

  

Travailler à Kopan

Lama Yéshé avait invité Steven Levy, qu’il avait rencontré quelque temps auparavant, à tenir le rôle de jardinier à Kopan. Selon les propos de Steven : 


 « Chaque fois que je plantais quelque chose [à un endroit, Lama] me demandait si j’étais sûr. Quand je répondais que je l’étais, il disait « Mais es-tu sûr que tu es sûr ? » Et on éclatait de rire tous les deux. Ce rire de Lama était tellement contagieux ! C’était comme un sonar, un laser ! Je voudrais avoir un enregistrement du rire de Lama pour l’écouter à jamais. Mais il était dur aussi. Je creusais une douzaine de trous pour mettre des plants : « Mais pourquoi mets-tu ces plants ici ? » Je lui rappelais alors que quelques heures auparavant, nous nous étions mis d’accord sur l’emplacement. « Crois-tu que Lama ne sait pas ce qu’il dit ? Mets les plants là-bas. » J’hésitais, faisais des allers-retours, puis il décidait de revenir à l’emplacement du départ. On avait l’impression qu’il me testait, voulant voir jusqu’où il pouvait aller avec moi. Il disait : « Creusons ici ! » Je disais « Non, je vais creuser là. » Et il me donnait un coup d’épaule ferme et tendre, s’emparait de la bêche et disait : « Non, c’est Lama qui va creuser. » J’avais trente-deux ans, il n’en avait que six de plus que moi mais il était à mon égard comme un père, voire un grand-père. Je me sentais dans la position d’un enfant. Il était sans âge. Son maternage masculin nourrissait en moi tant de lieux laissés à l’abandon, inaccessibles, mal-aimés. »

Anila Ann observait la façon dont Lama interagissait avec tout le monde : « Il s’infiltre à l’intérieur de nos peaux pour trouver ce qui nous tape sur les nerfs et il parodie notre langage corporel et nos manières. Il était tout simplement hilarant. Si j’étais malheureuse ou déprimée, il trouvait toujours une façon de me donner un sentiment de valeur. Quand il m’avait retapée, il se tournait vers la prochaine personne en manque et pouvait lui faire exactement la même chose, alors que j’étais toujours présente. Il me jetait alors un œil pour être sûr que j’avais pigé. Lama était habile à nous montrer nos traits négatifs comme nos qualités positives. Il semblait savoir intuitivement quand les gens arrivaient et ce qui leur était arrivé. Je lui lisais son courrier, mais il savait souvent ce qu’il contenait avant même que je le fasse, ou il me disait : « Tiens, Marcel est arrivé… Je peux toujours dire quand Marcel est là. » Je regardais par la fenêtre et en effet Marcel était là, sorti de sa cabane de retraite. « Magique » était le seul mot qui me venait alors ! »


[…] Lama gardait aussi un œil sur l’argent et donna à Yéshé Khadro (photo) le job de comptable. « Il était très malin, se rappelle-t-elle. Il vérifiait chaque transaction. Quand le minuscule bâtiment qui me servait de bureau fut démoli et que Pete Northend construisit une nouvelle cuisine et un nouveau réfectoire en 1974, on supposait que la plus grande des deux pièces supplémentaires serait le bureau. Mais non, Lama dit qu’elle devait devenir un coffee-shop. « Les boutiques rapportent de l’argent, pas les bureaux, » nous dit-il. Or Lama Yéshé avait besoin d’argent. Comment aurait-il autrement réussi à nourrir et soutenir le nombre croissant de jeunes moines ? » L’argent était toujours un sujet crucial.



Lama Pasang gérait toutes les courses pour la nourriture et les approvisionnements divers de Kopan. Il les chargeait dans un rickshaw pour les amener à la maison que Mummy Max louait près du palais royal puis chargeait le tout dans sa jeep pour le transport vers Kopan. Lama Pasang avait son rickshaw favori en la personne de Kancha, un garçon de 14 ans, orphelin népalais désespérément pauvre. Lama Pasang ne tarda pas à le faire monter à Kopan où il commença à travailler comme garçon de cuisine. Kancha était très intelligent, il commença rapidement à apprendre le tibétain et on finit par le trouver assis sur son lit dans le cellier à réciter des prières en tibétain avec son livre de prières.


Lama Yéshé menait régulièrement une inspection minutieuse de tout ce qui se trouvait dans la cuisine. Il vérifiait l’hygiène, goûtait à la nourriture pour s’assurer qu’elle n’était ni trop épicée, ni trop grasse pour les jeunes moines et donnait à l’occasion un bon coup de bâton à Chombey [en photo ; il s’agit du chef cuisinier, ancien disciple de Lama, qui, jeune moine, avait quitté le camp de Buxa, rendu ses vœux, s’était marié et que Lama avait fortement invité à venir travailler à Kopan quand il l’avait retrouvé « par hasard »]. Chombey ne s’en formalisait pas, c’était la coutume tibétaine. Le repas ordinaire népalais de dal-bhat [riz-lentilles] s’améliorait souvent avec des momos [un genre de petits pains tibétains fourrés ou pas de légumes], à la vapeur et non frits ! Lama Yéshé n’aurait pas autorisé les cuisiniers à les frire ! « Trop gras, » disait-il.  Il insistait aussi pour que les moines aient de la salade tous les jours. La salade n’entrait pas dans les habitudes tibétaines, Lama avait pêché ça chez les Injis [Occidentaux en tibétain]. « Fais des petits pains avec de la farine complète, dit Lama à Chombey, les Occidentaux pensent que la farine complète est meilleure que la blanche. »  Chombey fit ce qu’on lui disait tout en remarquant que les petits pains blancs disparaissaient toujours les premiers. « Ils ne font pas toujours comme ils disent, vous savez, » dit-il à Lama. La qualité de la nourriture à Kopan changeait beaucoup au cours des saisons, suivant ce qui était disponible en termes de légumes et autres. Durant la mousson, il n’y avait que choux-fleurs, blettes et pommes de terre pour tout le monde.


Pratiquement depuis les débuts de Kopan, l’ami fidèle de Lama Yéshé, Tchowkidar (photo, à droite), aplanissait avec douceur et tact bien des litiges locaux, notamment ceux relatifs à l’accès à la source en contrebas. Les Népalais considèrent les sources comme des lieux hindous sacrés. Il arrivait que des femmes népalis en colère jettent de l’eau sur les filles hippies Injis qui s’éclaboussaient inconsidérément. Au Népal, hindous et bouddhistes pensent que chaque source est sous le contrôle des nagas, des esprits ayant la forme de serpents, et pareil comportement irrespectueux était jugé outrageant et hautement déplacé.


« Lama houspillait constamment Tchowkidar, se souvient Peter Kedge. Chaque matin, celui-ci montait à Kopan apporter du lait frais de buffle pour Lama. Il portait toujours les mêmes habits et avait ce visage incroyablement buriné. Lama le sermonnait dans un mélange d’hindi et de népali ; Tchowkidar se contentait de sourire et de répondre tranquillement. Plus Lama lui criait dessus, plus le vieil homme souriait. Lama faisait souvent remarquer aux étudiants qu’on ignorait qui a des réalisations et qui n’en a pas, ajoutant que sans doute Tchowkidar avait de plus hautes réalisations que lui n’en avait. Lama envoyait toujours Tchowkidar à l’extérieur pour dénicher de nouvelles parcelles de terrain à acheter. Il achetait chaque are disponible et c’était le job de Tchowkidar de découvrir qui projetait de vendre. La plupart des lopins de terre étaient très petits. Tchowkidar revenait avec un prix et Lama disait que c’était trop cher et le renvoyait à nouveau tenter d’obtenir une baisse. Tchowkidar repartait avec le sourire. Leurs échanges finissaient toujours en déambulations bras dessus bras dessous pour inspecter le jardin potager. L’une des plaisanteries favorites de Lama à Tchowkidar était qu’il le ferait s’installer à Kopan un de ces jours, lui raserait la tête et l’ordonnerait moine.»

Janvier au centre Kalachakra

Retrouvez ci-dessous le tableau du programme de janvier
ainsi que les suggestions d'Arnaud concernant les événements marquants.

 

Janvier au centre Kalachakra

Le centre ferme donc ses portes à Paris le 19 décembre au soir pour 2 semaines pour vous retrouver en pleine forme début janvier. Parmi les activités à ne pas manquer :


- La nuit annuelle de Tara la nuit du 31/12 pour finir l’année 2022 et commencer l’année 2023 de la manière la plus constructive possible avec de nombreuses offrandes, prosternations, circumambulations et récitations de mantras.

Pour en savoir plus :

https://www.centre-kalachakra.com/event/nuit-de-tara-2022-12-31-2023-01-01-469/register


- L’entrainement de l’esprit en 7 points avec Guéshe Dakpa aura lieu mardi 17 janvier. Il est toujours temps de se joindre à ce programme d’enseignement en semaine ; il commente le célèbre texte de Guéshé Chekawa tout en nous permettant des révisions bienvenues des étapes de la voie (lamrim). Plus d’informations ici :

  https://www.centre-kalachakra.com/event/entrainement-de-l-esprit-en-7-points-2023-01-17-951/register


- Pratiquer les 16 attitudes avec Virginie Cornet-Butcher les 14 et 15 janvier est l’occasion pour tous ceux d’entre vous qui ont suivi un ou plusieurs ateliers des 16 attitudes de les mettre en pratique. Les deux journées en ligne prendront la forme d’une mini retraite à la maison avec de courtes sessions pour réfléchir, échanger et expérimenter sur la manière d'intégrer les 16 attitudes dans la vie quotidienne. Plus d’informations ici :

  https://www.centre-kalachakra.com/event/pratiquer-les-16-attitudes-2023-01-14-2023-01-15-35/register


- La retraite annuelle de lamrim avec Vénérable Gyaltsen est devenue le rendez vous incontournable pour ceux qui veulent méditer en profondeur et intégrer les différentes étapes de la voie. Il est possible de ne suivre qu’une partie de la retraite. Plus d’informations ici :  https://www.centre-kalachakra.com/event?search=voie+gradu%C3%A9e&tags=


Rencontre avec Agnès

Étudiante au centre, Agnès aide en jouant de la musique lors de différents évènements.
Propos recueillis par Arnaud.

 

Comment t’es tu retrouvée impliquée au centre ?


J’ai connu le centre il y a environ 4 ans. J’ai retrouvé une cousine qui m’a parlé de méditation et de yoga dans un centre bouddhiste et elle m’a invitée à l’accompagner. Je suis venue à la méditation du mercredi puis au yoga et j’ai fait du yoga pendant un an avec Véronique. Au fur et à mesure j’ai découvert les différentes activités que le centre propose. Je venais surtout pour le yoga et le reste était un peu annexe en fonction de mes disponibilités. En particulier, je travaille le mercredi et c’était rare que je puisse venir à la méditation guidée.


Ces derniers temps, j’allais de plus en plus au centre et un jour j’ai décidé de faire une retraite. J’ai suivi la retraite de 10 jours sur le calme mental. C’était vraiment génial. J’ai adoré ! Ensuite j’ai fait une retraite de 2 jours avec vénérable Gyaltsen sur l’interdépendance. Maintenant je me dis que je suis lancée et j’aimerais bien faire 2 retraites par an. 


Il y avait aussi eu cet appel à bénévole auquel j’avais répondu en disant que je ne savais rien faire mais que je suis musicienne. Je me suis retrouvée à faire de la musique pour la fête du vésak et aussi pour les dialogues interreligieux. Depuis un an, je suis beaucoup plus impliquée au centre. 


A quelles activités tu participes aujourd’hui ?

Cela peut être "Découverte du bouddhisme" ou les enseignements de personnes invitées comme Vénérable Robina.  Je suis aussi le yoga du méditant avec Hugues. A part la méditation du matin, il n’y a pas d’activité que je suis régulièrement. Ça dépend beaucoup de mon emploi du temps. 


Je me rends compte qu’il y a aussi un peu de résistance du fait de mon éducation très matérialiste, sur des aspects comme la réincarnation. Je sens que j’ai besoin de temps. Ce qui m’intéresse surtout c’est la mise en pratique comme la méditation. Quand je me sentirai prête je m’inscrirai au PEBA.


J’ai aussi emmené mon papa faire une retraite. Pendant que je suivais la retraite sur l’interdépendance, il a suivi celle sur le souffle. Maintenant, il suit le yoga du méditant et la méditation du matin. Lui aussi est de plus en plus impliqué.

Et comment tu vois les choses à l’avenir ?


Le centre a pour volonté d’intégrer davantage de jeunes adultes. Dans les retraites il y a quelques jeunes mais je suis souvent la plus jeune. Je suis convaincue que la philosophie pratique pourrait aider beaucoup de monde de mon âge, pour donner du sens, pour aider dans la vie professionnelle... Dans mon milieu de la musique, je vois beaucoup de gens qui se posent des questions. Cela pourrait les aider. On pourrait imaginer un dialogue autour de questions qui touchent davantage les "jeunes". Pas pour écouter un sermon mais pour avoir des temps d’échange. Dans une société qui va à 100 à l’heure et où on est tout le temps connecté, ce serait vraiment bienvenu. S’il y a d’autres jeunes intéressés, je suis vraiment motivée pour organiser quelque chose.

Le centre de retraite recherche un bénévole ou un salarié


Les activités du centre de retraite de Saint Cosme en Vairais se développent, et l'équipe sur place aura besoin de renforts en 2023, lors d'occasions ponctuelles ou sur de plus longues durées. Pour seconder Magali la gestionnaire, nous cherchons de l'aide pour des tâches aussi diverses que :

  • la gestion courante (courses, rangement, accueil des retraitants...) ;

  • l'entretien général (ménage, lessive, petit bricolage...) :

  • l'aide à la cuisine...

Le permis B est un plus apprécié.

Pour favoriser le bon fonctionnement du centre de retraite et développer des mérités, venez apporter votre aide ! Présentez-nous les tâches que vous vous proposez d'effectuer, ainsi que vos disponibilités : info@centre-kalachakra.net

Un grand merci !


Séquence rétro : dans les archives du centre Kalachakra


Chaque mois, nous ressortons du grenier une photo qui nous rappelle de jolis moments.

Sereine circumambulation de Vénérable Élisabeth à Saint Cosme...

  

La lettre de la fpmt