Au Centre Kalachakra. Octobre- Novembre  2020. (Les échanges et la méditation ne sont pas inclus dans cette vidéo. Ceci afin de respecter le droit à l'image des participants.)

Nous méditions dans les jungles sauvages, aujourd’hui dans des salles climatisées. Ce qui séparait les premiers chercheurs de vérité de la nourriture était la distance de leurs bras. Aujourd’hui, nos manguiers poussent en Australie et leurs fruits partent dans les airs avant de tomber au sol. Communiquer, consommer, se déplacer, en Inde ancienne, n’élevait pas le niveau des eaux, ne faisait pas creuser des trous à des enfants, ne dérobait rien de la glace sous les sabots des rennes. Rien n’était multiplié par 7 milliards. Pour prédire les conséquences de nos actions, nous n’avions pas besoin de nous transformer en détective, étudier le parcours du coton, percer des mensonges, il suffisait de regarder autour de soi. Comment vivre sans blesser ? Est-ce seulement possible ? Rien n’est moins simple au XXIème siècle.

A travers quatre sessions, en groupe, nous agirons pour le climat ; sur des bases solides, abordant la joie, l’interdépendance, la non-violence et la désobéissance civile.

François Schick

Acteur de profession, il découvre le bouddhisme via la poésie japonaise. Méditant assidu depuis presque 15 ans, François Schick a terminé les cinq années du Programme d’Études Bouddhistes Approfondi (Peba) au Monastère Nalanda qu’il a fait suivre de trois mois de retraite en solitaire dans les montagnes de la Sierra Nevada. Il est certifié auprès de la FPMT. Depuis, il consacre sa vie au dharma, alternant les périodes durant lesquelles il étudie et enseigne, et les retraites spirituelles (dont une retraite de six mois en 2022, dans les Alpes, sur le sujet du calme mental et de la concentration). Il a enseigné, entre autres, "Découverte du Bouddhisme", "Science de l’esprit", "Prendre soin de la planète". François Schick est apprécié pour son approche de l’enseignement aussi rigoureuse que moderne, accessible et vivante.